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Un magistral combat de boxe a opposé July "The killing irony" & Antho "El zurdo fatal" sur la terrasse de la ruche du 30 rue médéric, la semaine dernière.
© Anthony Bornachot
5 rounds d'une rare violence, où el zurdo fatal a rué de coups sans relache " the killing irony" ;)
Ames sensibles s'abstenir...
© Anne Laurençon
Nous souhaitons un prompt rétablissement à notre fébrile chef de projet web préférée...
“100 briques”
Ticket gagnant
Qui a dit qu’avec 100 briques, aujourd’hui, t’as plus rien ? On a quand même le droit de rêver un peu…
Personnage à part entière ou décor, la ville s’installe à la Cité de l’architecture et du patrimoine pour l’exposition Archi & BD.
Objet de fascination de nombreux dessinateurs dès les années 30, la métropole bénéficie souvent d’une attention toute particulière. Que ce soit à travers les gigantesques immeubles rencontrés par le Nemo de Winsor Mac Cay, ou dans le Gotham City de Batman, la représentation de la ville dans l’illustration est vecteur d’un imaginaire propre à chaque auteur, et participe à l’apparition de nouvelles idées architecturales. Créée dans les années 60 par six architectes Britanniques, la revue Archigram est la première à souligner de manière évidente ce lien étroit entre architecture et bande dessinée. Dans une scénographie composée d’un rideau oscillant légèrement pour créer un relief, 350 œuvres prennent place pour autant de visions différentes de la ville. 150 illustrateurs internationaux parmi lesquels Will Eisner, David Mazzucchelli, Jiro Taniguchi, Moebius, Schuiten ou Enki Bilal croisent leurs regards sur la ville, à côté de maquettes, esquisses et projets dessinés par différents architectes.
09 Juin 2010 - 28 Nov. 2010
Plein tarif : 8€ - tarif réduit : 5€
Cité de l'architecture et du patrimoine
Palais de Chaillot
1 place du Trocadéro
75016 Paris
Plus d'infos sur le site
2e prix : Fanette MELLIER
Quelques explications sur les prix étudiants et la controverse autour du concours : Comme pour les autres concours (international et sélection française), la détermination des lauréats ne s’est décidée et effectuée que le vendredi 28 mai. Le premier communiqué diffusé par l’organisation du festival portait sur « le refus d’opérer une sélection ». Pour le concours étudiant, il s’agissait donc de ne pas choisir les 200 affiches qui feraient l’objet d’une exposition. La détermination des lauréats n’était alors pas à l’ordre du jour. Mais en l’absence de précision sur le terme de « sélection » et à défaut de démenti quant à l’annonce d’ «annulation» du concours étudiant diffusée sur plusieurs blogs, tracts et sites d’association, ( le terme étant impropre à qualifier la décision du jury à ce stade de la compétition), peu de festivaliers s’attendaient à voir monter sur la tribune les étudiants. La direction du festival et le jury étudiant reconnaissent un défaut de communication sur le sujet.Interrogé sur la qualité des propositions étudiantes, le membre du jury Julian Legendre pointe doigt la globalité des réponses : «beaucoup d’étudiant n’avaient pas envie de répondre à la question», ou se sont retranchés dans de mêmes ecueils. La scénographie mise en place pour présenter les 1200 affiches aux Subsistances avait pour but de rendre compréhensible le jugement du jury et les redites dans le traitement du sujet et l’angle choisi. Le choix du jury s’est porté sur des réponses plus conceptuelles, plus métaphoriques, et sur la qualité plastique des images. Il précise que ces lauréats n’ont, en aucun cas, été choisis par défaut et soutient la qualité de ces affiches avec conviction.
Rendez-vous à Chaumont jusqu'au 20 juin 2010
pour plus d'infos : le site