Groupe TroisTemps, le blog

Festival international de l'affiche et du graphisme de Chaumont 2010

Voici les affiches des lauréats du concours fraîchement nommés

1er prix : Evil, Ralph SCHRAIVOGEL

2e prix : Fanette MELLIER

3e prix : Belousov Mikus


Excellence Icograda Awards : Nickaus Troxler

Quelques explications sur les prix étudiants et la controverse autour du concours : Comme pour les autres concours (international et sélection française), la détermination des lauréats ne s’est décidée et effectuée que le vendredi 28 mai. Le premier communiqué diffusé par l’organisation du festival portait sur « le refus d’opérer une sélection ». Pour le concours étudiant, il s’agissait donc de ne pas choisir les 200 affiches qui feraient l’objet d’une exposition. La détermination des lauréats n’était alors pas à l’ordre du jour. Mais en l’absence de précision sur le terme de « sélection » et à défaut de démenti quant à l’annonce d’ «annulation» du concours étudiant diffusée sur plusieurs blogs, tracts et sites d’association, ( le terme étant impropre à qualifier la décision du jury à ce stade de la compétition), peu de festivaliers s’attendaient à voir monter sur la tribune les étudiants. La direction du festival et le jury étudiant reconnaissent un défaut de communication sur le sujet.Interrogé sur la qualité des propositions étudiantes, le membre du jury Julian Legendre pointe doigt la globalité des réponses : «beaucoup d’étudiant n’avaient pas envie de répondre à la question», ou se sont retranchés dans de mêmes ecueils. La scénographie mise en place pour présenter les 1200 affiches aux Subsistances avait pour but de rendre compréhensible le jugement du jury et les redites dans le traitement du sujet et l’angle choisi. Le choix du jury s’est porté sur des réponses plus conceptuelles, plus métaphoriques, et sur la qualité plastique des images. Il précise que ces lauréats n’ont, en aucun cas, été choisis par défaut et soutient la qualité de ces affiches avec conviction.

Rendez-vous à Chaumont jusqu'au 20 juin 2010

pour plus d'infos : le site

Médecins Sans Frontières compte sur votre générosité avec sa campagne nationale "1€ par semaine"

L’opération 1 euro par semaine consiste à soutenir les actions médicales de Médecins Sans Frontières par un don régulier.

Grâce à ce mode de soutien, les équipes de Médecins Sans Frontières disposent de fonds immédiatement disponibles, pour réagir rapidement en cas d’urgence, répondre à toutes les crises, médiatisées ou non, ou pour s’investir dans la durée et offrir des traitements adaptés aux populations souffrant de maladies négligées.

En inscrivant leur engagement dans la durée aux côtés des équipes de Médecins Sans Frontières, les donateurs qui font le choix de ce mode de soutien garantissent l’indépendance des actions menées sur le terrain.

Le don régulier se traduit en actions concrètes sur le terrain:

• -  Avec 1€ par semaine, nous pouvons acheter les vaccins pour protéger 236 personnes de la rougeole.
• -  Avec 4€ par semaine, c’est le prix des traitements pour soigner 9 enfants malnutris.
• -  Avec 10€ par semaine, 9 patients atteints du sida peuvent bénéficier d’une trithérapie pendant un an.

En mars 2010, plus de 350000 personnes participent déjà à l’opération 1 euro par semaine.

Plus d’infos sur le site de la Campagne 1€ par semaine

Du 16 au 30 mai 2010, le Festival JAZZ à SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS fêtera ses dix ans !

Depuis 2001, plus de mille artistes et plus de quatre cents spectacles, rencontres,… ont créé l’événement dans le quartier mythique de Saint-Germain-des-Prés, berceau du jazz en Europe. Le festival n’a de cesse de cultiver ses différences et propose des concerts uniques et exceptionnels, la découverte de jeunes talents, des expositions, des rencontres. Le Festival JAZZ à SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS n’est pas un festival de plus, mais un festival à part.

Cette année, les artistes investiront de nouveaux lieux parmi les plus prestigieux et inattendus du patrimoine historique, intellectuel et architectural de Paris Rive Gauche : Richard Galliano accompagné de son quintet à cordes ouvrira cette édition anniversaire par une inoubliable invitation à Bach et Piazzolla au Théâtre de l’Odéon ; Yaron Herman  donnera un concert inédit à l’Auditorium de l’Institut Pasteur ; le trio Mirabassi-Renzi-Parker suivi de Diane Tell "Dr Boris et Mr Vian" se produiront à l’Hôtel Méridien Montparnasse, etc !

Pour plus d’informations :
http://www.festivaljazzsaintgermainparis.com/

J-22 avant l’ouverture du centre Pompidou * Metz

Reconnaissable à son architecture qui semble tout droit sorti d’un film de science fiction, le centre Pompidou Metz ouvrira ses portes le 12 Mai prochain.

Pour saluer l’ouverture de ce nouveau centre de l’art contemporain en Europe, l’inauguration donnera lieu à des festivités de grandes ampleurs : 5 jours de portes ouvertes, et une exposition d’envergure : « Chefs-d’œuvre ? » qui au travers une sélection exceptionnelle de près de 800 œuvres, interroge la notion de chef-d’œuvre.

Institution sœur du centre parisien développe une nouvelle idée du musée, révolutionnant les genres. Cet édifice surnommé « le vaisseau spatial » en raison de son architecture peu commune, présente une surface hors norme de 10 000m² dont 5000m² d’espace d’exposition  ce qui en fera la plus grand espace d’exposition européen. Les volumes remarquables de sa grande nef, la diversité des lieux d’exposition, qui alternent entre grands plateaux libres et espaces plus intimistes, sont propices à l’inventivité et aux surprises pour le visiteur.
Ne comportant pas de réserves, il profite d’un accès privilégié à la collection du Centre Pompidou, la première en Europe et la deuxième au monde, pour bâtir ses expositions, changeant sa programmation tout les 3 ans. Jamais figés, les espaces d’exposition peuvent être modulés pour permettre des lectures originales de l’art moderne et contemporain. Entrer au Centre Pompidou-Metz est donc conçu pour constituer un événement pour le visiteur, une plongée dans une aventure plastique dont il ressortira séduit.

« Tout sera mis en œuvre pour provoquer la surprise, l’émerveillement, le plaisir et pour stimuler et renouveler sans cesse l’intérêt des publics pour l’art contemporain. »
Laurent Le Bon, directeur du Centre Pompidou-Metz

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La famille va s'agrandir !!!

Après les fêtes, notre sapin a retrouvé une nouvelle vie en accueillant le magnifique nid d’un petit couple de merles récemment baptisé par nos soins “Noël” & “Noëlle”.

Nous devrions donc sous peu voir nos nouveaux locataires donner vie à une portée de 2 à 6 oisillons, les paris sont ouverts ;-)

Nous vous tiendrons informés des prochaines étapes, une seule règle d’or d’ici là, ne pas toucher au nid...

Rose c’est Paris

 / Une jeune femme, B. cherche Rose, sa soeur jumelle, qu’elle prétend disparue. Tel est le point de départ d’une quête initiatique dans un Paris intime, décrit dans l’objectif de Bettina Rheims au fil d’une fiction conçue avec la complicité de Serge Bramly.

 

Rose, c’est Paris. Tenue de gala. Le Meurice, rue de Rivoli, février 2009, Monica Bellucci,
© Bettina Rheims. Courtesy Galerie Jérôme de Noirmont, Paris

Une centaine d’images et un film retracent le parcours de l’héroïne au cœur de la ville, pour une rêverie moderne inspirée du Paris de l’entre-deux-guerres.

Au cours de ses investigations, B incarne différents personnages qui lui permettent de s'insérer dans les milieux fréquentés par Rose : elle se transforme en tricoteuse japonaise, accordéoniste aveugle, meneuse de revue, se faisant même passer pour Rose. Muse plus que sujet de la narration, le Paris de Bettina Rheims et Serge Bramly apparaît au gré de l’intrigue sous une forme quasi allégorique. Le Paris en noir et blanc auquel se sont attachés les auteurs est celui des origines du surréalisme. L’ombre insaisissable de Fantômas plane sur la butte Montmartre où Souvestre et Allain conçurent leur héros, entité nuisible et protéiforme, dont les crimes inspirèrent toute une génération d’artistes et de poètes. En contrepoint de cet univers nocturne et maléfique, Marcel Duchamp fait souffler sur la ville l’air léger et exaltant du désir. C’est le côté Rose, subtil, aérien. Le titre du projet s’inspire du pseudonyme que s’était choisi l’artiste. Rrose Sélavy = Rose, c’est Paris = Rose séparée. Bettina Rheims et Serge Bramly ont souhaité lui rendre hommage tout au long de leur fiction à travers diverses scènes et citations. « Rose, c'est Paris » a bénéficié de la complicité d’artistes renommés dont Monica Bellucci, Valérie Lemercier, Anna Mouglalis, Naomi Campbell ou encore Charlotte Rampling.
 
/ A voir du 8 avril au 11 juillet 2010
BNF Richelieu, Galerie de photographie,  
3-5 rue Vivienne - Paris IIe
Du Mardi au samedi de 10h à 19h, dimanche 12h-19h
TP  7 €, TR 5 €

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